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le Formindep saisit le Conseil d’Etat
Le Formindep dénonce deux «recommandations de bonnes pratiques médicales» de la HAS (Haute autorité de santé), dont les conflits d’intérêts des experts qui les ont rédigées ont été mal voire non gérés par la HAS. Le Formindep saisit le Conseil d’Etat et demande l'annulation de ces recommandations pour violation du principe d’impartialité.
La Grippe et le Loup
Chacun se souvient de ce conte qui a bercé notre enfance. Celui de ce jeune berger qui, pour se rendre intéressant, appelle régulièrement au loup les gens du village. Et à chaque fois, c’est « [...]
Grippe H1N1 : Un niveau de précaution délirant
Une interview du président du Formindep dans le journal l'Humanité du 27 novembre 2009. "Le jour où on fera face à des virus très grave, les autorités n'auront plus une parole crédible." Pendant ce [...]
De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ?
L'European Medicines Agency (EMEA), ou Agence Européenne du Médicament est un organe de l'Union Européeenne, chargé de l'évaluation et de la supervision des produits de santé humaine et animale. Epinglée à différentes reprises pour sa politique de transparence pour le moins insuffisante et qui laisse la place à toutes les suspicions, l'EMEA a lancé cet été une consultation publique sur sa nouvelle politique de transparence qui poursuit les nobles objectifs suivants : -* mettre en place une approche "proactive" de la transparence dans les activités quotidiennes de l'agence -* renforcer les interactions entre les différents acteurs et partenaires de l'agence -* promouvoir la transparence et la coopération entre les différentes agences européennes du médicament. A la suite de la revue Prescrire qui a récemment fait le point de 4 années de relations avec l'EMEA, et conjointement à d'autres organismes européens, le Formindep décide de participer à la consultation publique de l'EMEA sur sa politique de transparence, et transmet sa réponse.
Exigée par la finance, ignorée par la santé publique!
La presse s’intéresse enfin aux conflits d’intérêts des études cliniques ! La polémique sur l’insuline glargine (Lantus de Sanofi) a agité l’ensemble de la presse cette semaine, et à cette occasion les conflits d’intérêts des [...]
Article du British Medical Journal : la HAS répond
Le professeur Laurent DEGOS, président de la HAS, répond à l'article du BMJ concernant l'action commune Formindep-UFC Que Choisir. Lire la réponse de Laurent DEGOS en commentaire de l'éditorial du Formindep consacré à cet [...]
Les Médicamenteurs, le film !
A NE PAS MANQUER ! Tout ce que vous n'avez jamais osé imaginer sur les influences qui s'exercent dans le monde de la santé, que le Formindep vous explique pourtant depuis des années, mais que dorénavant vous aurez "vu à la télé" !
L’enquête du Formindep
En avril 2008, un an après la parution des décrets d'application de la loi sur la transparence de l'information, le Formindep a voulu vérifier l'application de cette loi. Une enquête en plusieurs étapes. Le constat est sans appel : la loi n'est pas respectée par les médecins et leurs ordres professionnels pourtant chargés de son application. Sur la base de cette enquête l'UFC-Que Choisir porte plainte en avril 2009 contre 9 médecins leaders d'opinion ayant des liens d'intérêts majeurs avec l'industrie pharmaceutique.
APPLIQUER LA LOI !
Depuis plusieurs années le Formindep s'engage pour l’application en France de la loi sur la transparence de l’information médicale. Cet article de loi qui date de 2002, et dont les décrets d’application n’ont été publiés qu’en mars 2007, après le recours du Formindep devant le Conseil d’Etat, stipule que tout professionnel de santé qui s’exprime publiquement sur un produit de santé doit déclarer ses liens avec des entreprises fabriquant ou commercialisant de tels produits. Pendant plus d'un an une équipe du Formindep a enquêté pour savoir si cette loi était réellement respectée par les professionnels de santé et par les ordres professionnels chargés de son application. Le résultat de cette enquête est consternant : ni les professionnels, ni les ordres, ni les medias concernés ne s'intéressent véritablement à cette loi. Devant ce constat, l'UFC-Que Choisir, à partir des éléments de l'enquête du Formindep, porte plainte, dans un premier temps, contre 9 médecins leaders d'opinion pour non respect de l'article L4113-13 du code de la santé publique. Lire le dossier complet dans le numéro 470 de mai 2009 de la revue Que Choisir, sur le site Internet de l'UFC-Que Choisir ainsi que l'éditorial du numéro 28 de mai 2009 de Que Choisir Santé.
HAS et toujours plus… de conflits d’intérêts
Des déclarations publiques d’experts ont enfin été rendues publiques comme la loi l’exige après que la HAS a reçu l’appel du Formindep aux retraits de deux recommandations professionnelles. Nous apprenons ainsi, que les cinq [...]
Suite à la réponse de la HAS, le Formindep maintient sa demande de retrait de deux recommandations professionnelles
Le 16 mars dernier, le Formindep interpelait par courrier la HAS (Haute autorité de santé) à propos de deux recommandations professionnelles importantes : celles sur la maladie d'Alzheimer de mars 2008 et sur le diabète [...]
La question du sénateur Autain à la ministre de la santé
L'éditorial "des recommandations professionnelles peu recommandables" du Formindep sur les conflits d'intérêts des experts non gérés par la HAS continue à faire du bruit. Il n'a pas laissé indifférent le sénateur François AUTAIN qui a [...]
Des recommandations peu recommandables : La HAS répond
Par courrier électronique et postal reçu le 21 mars 2009, le Formindep a reçu une réponse de la Haute autorité de santé, signée de son président le professeur Laurent DEGOS. Comme il fallait s'y attendre, [...]
De la fiabilité des “experts”
Lu dans le British Medical Journal du 10 mars 2009 Un médecin-chercheur renommé, chef d’un important service antidouleur aux Etats-Unis, a reconnu avoir fabriqué les données de 21 articles sur 72 indexés dans la [...]
Des recommandations professionnelles peu recommandables
En France, les recommandations pour la pratique clinique des professionnels de santé élaborées par la Haute autorité de santé (HAS) sont sous influences. L’influence des firmes pharmaceutiques est très importante, en particulier à cause des liens d’intérêts des « experts » élaborant ces recommandations. L’absence de prise en compte de ces liens d’intérêts par la HAS, à l’encontre de ses propres règles, altère le contenu de ces recommandations. Le Formindep apporte des exemples de ces recommandations peu recommandables. Compte tenu des conséquences délétères pour la santé publique, le Formindep demande le retrait de ces recommandations dans l’intérêt des patients et des soignants.
Retrait d’articles
Le Formindep a retiré, à la demande de son auteur, 3 articles de son site. Le Formindep présente ses excuses à ses lecteurs pour le désagrément provoqué. Il s'agit des articles suivants : - " [...]
Disease, Diagnoses and Dollars
Facing the Ever-Expanding Market for Medical Care Le Formindep vous recommande un ouvrage du Professeur Robert Kaplan, directeur du département des services de santé à l’Université de Californie Los Angeles (UCLA) : Maladie, diagnostics et [...]
Dans l’Express cette semaine (18 décembre 2008)
Sur son site Internet et dans son édition papier de cette semaine, l'hebdomadaire l'Express se fait l'écho de notre éditorial sur l'absence de conséquences de l'essai ALLHAT sur le traitement de l'hypertension. Voir page [...]
Grande étude, petites conséquences
Un article récent du New-York Times dont le Formindep propose la traduction révèle comment l'industrie pharmaceutique a étouffé les résultats d'un grand essai clinique, l'essai ALLHAT, qui aurait dû bouleverser le traitement de l'hypertension artérielle, en améliorant la prise en charge des malades et faisant économiser des milliards d'euros, compte tenu de la fréquence de cette maladie dans le monde. En France, l'analyse par le Formindep des données de l'assurance maladie confirme également l'absence d'impact de cet essai sur les prescriptions de médicaments antihypertenseurs. Une preuve supplémentaire de l'efficacité du travail de désinformation de l'industrie, de la réceptivité des professionnels de santé à cette désinformation, et de la défaillance des autorités sanitaires et de sécurité sociale pour la contrer.
OUI à l’accès public aux conventions entre les médecins et l’industrie pharmaceutique !
Le Formindep demande le maintien de l’amendement à la loi sur la transparence de l’information médicale voté par le sénat le 19 novembre lors de l’examen du PLFSS 2009, qui autorise les ordres professionnels à rendre publiques les conventions passées entre les médecins et l'industrie pharmaceutique.
Acomplia° c’est fini !
Une bonne mais bien tardive nouvelle ! L'Acomplia° (rimonabant) commercialisé par Sanofi-Aventis, vient d'être enfin retiré du marché européen ce 23 octobre 2008, suite à la recommandation de l'Agence européenne du médicament. Télécharger le communiqué [...]
Des firmes bienveillantes à l’Université
Faculté de Médecine de Saint-Étienne, lundi 13 octobre 2008 : C'est la journée de choix des stages des internes. Dans le hall beaucoup de monde circule. Trois entreprises, Sanofi-Aventis, Sigvaris, et La Médicale, nous accueillent [...]
Transparence de l’information médicale : une question d’hygiène
La transparence de l'information en santé, et plus encore son indépendance, sont déterminantes pour la qualité de cette information, pour la qualité des soins qui en découlent, leurs coûts et, in fine, les équilibres des [...]
LA LOI EST-ELLE REELLEMENT APPLIQUEE ?
Les décrets d'application de l'article 26 de la loi de démocratie sanitaire du 4 mars 2002, reprise par l'article L4113-13 du Code de la santé publique, ont été publiés le 25 mars 2007. Un [...]
Notre usine est un roman
L'usine pharmaceutique Roussel-Uclaf de Romainville dans la région parisienne racontée par ses ouvriers, chercheurs, syndicalistes de 1967 à 2007. Un ouvrage passionnant qui explique de l'intérieur et vu d'en bas, c'est à dire de ses [...]