Le dépistage augmente le repérage de pseudo-cancers que l’examen microscopique ne peut distinguer d’un cancer évolutif.
Le « surdiagnostic » nuit à la santé des gens et à l’acquisition de connaissances sur cette maladie. Face à ce phénomène connu depuis plusieurs décennies, les institutions impliquées dans la recherche et les soins adoptent des logiques potentiellement conflictuelles.
Voici, à toutes fins utiles, le texte d’un exposé que j’ai récemment présenté à la Faculté de médecine de Rennes.1)le 2 décembre 2005
Plusieurs échos me sont parvenus d’enseignants et de chercheurs en santé publique ainsi qu’en oncologie. Ils ont tous été positifs. Bonne lecture et merci de vos réactions.
Bernard JUNOD, le 16 janvier 2006
References
↑1 | le 2 décembre 2005 |
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