Tribune

Cours de sénologie de Bernard DUPERRAY

Par |2016-11-27T00:27:06+02:0012 août 2015|

Enseigner le surdiagnostic des cancers du sein ou comment faire la jonction entre l’épidémiologie et la clinique Le Diplome Inter-universitaire d’imagerie médicale [1] accueille chaque année une trentaine d’étudiants en médecine spécialisés en radiologie pour leur [...]

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Cancer du sein : le pavé dans la mare

Par |2016-11-27T00:57:23+02:0011 juin 2015|

Radiologue en Lorraine et ayant participé pendant vingt ans au dépistage organisé du cancer du sein en Moselle, j’ai fini par me demander comment on arrivait à faire courir des foules entières, dans des villes [...]

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Grains de sable et graines de blé

Par |2016-11-27T17:49:58+02:0024 février 2015|

Bernard JUNOD est décédé le 24 novembre 2014 à l’âge de 70 ans. Hommage à un épidémiologiste et ami, grand humaniste, qui se sera battu jusqu'au bout pour faire connaître le problème du surdiagnostic des cancers.

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Le guide des aliments contre les idées reçues

Par |2016-11-09T11:45:34+02:0020 février 2015|

Quotidiennement, nous sommes submergés de promesses marketing pour régimes « minceur », de publicités sur les produits de l'industrie agroalimentaire ou de nouveaux scandales. À qui, aujourd'hui, pouvons-nous faire confiance ? Emission France Bleue 19/02/15 [...]

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Octobre rose, mot à maux : pour une réelle liberté de choix

Par |2016-12-05T00:26:47+02:0025 octobre 2014|

"Quand les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté." Cette phrase de Confucius résume le constat dramatique que fait Rachel CAMPERGUE quatre ans après l'injonction de dépistage qui l'a mise en devoir d'écrire un essai documentaire, No mammo ?, pour faire la part belle à la vulgarisation des études scientifiques sur l’évaluation du dépistage organisé du cancer du sein par la mammographie et montrer finalement, sur les traces de grands lanceurs d’alerte comme Peter GØTZSCHE ou Bernard JUNOD, son faible impact sur la réduction de la mortalité.

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Le Plan cancer 2014

Par |2016-11-09T11:45:36+02:0018 avril 2014|

Le but d'une politique publique face au cancer serait de garantir aux malades l'accès aux meilleurs traitements, dans des conditions de prise en charge, de confort et de soutien dans les moments douloureux. Elle devrait aussi préciser les voies de prévention. Il est donc essentiel de bien distinguer la thérapeutique, de plus en plus coûteuse, et la prophylaxie, dont l'efficacité devrait être indéniable par rapport à l'effort financier consenti.

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Cholestérol : le bon, le mauvais et les truands

Par |2023-07-09T18:29:35+02:0021 mars 2013|

La controverse actuelle sur le cholestérol fait couler beaucoup d’encre. Pour s’y retrouver, il faut regarder les données scientifiques avec méthode. Il y a trois aspects à passer en revue : physiologiques, épidémiologiques [...]

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Recommandations sur la prise en charge des dyslipidémies: farcies d’intérêts et fortement biaisées

Par |2025-03-04T07:37:32+02:0024 février 2013|

En attendant la publication imminente des nouvelles recommandations américaines pour la prise en charge du patient dyslipidémique, il est intéressant d'analyser les dernières mises à jour européennes, américaines et françaises sous l'angle du niveau de dépendance avec lequel elles ont été élaborées (liens d’intérêts des experts, choix des références bibliographiques et conclusion des recommandations) …

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